16 mars 2007

11 Delphine HEMMER

Le mathématicien


Le cartographe


Le botaniste

2 commentaires:

Les Chevaliers de San Romano a dit…

Delphine,
je comprend bien le cartographe. Il se hisse sur les épaules ou bien est accroché en sous-face d'un nuage. Il est protégé dans le second cas et perçois et habite l'espace entre un ciel donné et un vrai sol ou bien il est posé sur un socle et cherche à accrocher les nuages. Les deux hypothèses sont interressantes. Peut-être pourrais tu regarder Brancusi et sa façon de s'aproprier le socle de la sculpture dans une mise en abyme de l'objet et de son socle jusqu'à ne plus savoir ce qui est l'un et l'autre.
Nous avons longuement parlé du botaniste.
Je trouve l'espace du mathématicien pas trés tenu. Jusqu'à se confondre avec l'environnement qu'il épouse, le vide. La relation à ce vide est confuse ou bien je ne la comprend pas. Là il faudrait être un peu plus claire sur les espaces que tu veux constituer.
Bon Prague.

Les Chevaliers de San Romano a dit…

Merci beaucoup, je vois beaucoup mieux dans quelle direction poursuivre mon travail. D.